vanille et chocolat
Dorénavant et pour quelques semaines, Mère Castor travaille à la bibliothèque.
Entourée de culture et de phrases définitives, elle traque les livres baladeurs (que faisaient donc les bijoux indiscrets de Diderot à l'étage des enfants ? L'important c'est qu'ils lisent, diras-tu, et tu auras raison), elle porte aux vieilles dames des livres dans des sacs, elle accueille les enfants des écoles, les lecteurs de passage, deux dames qui parlent travail, elle écoute les rêves, les souvenirs et les histoires des gens et tient à l'occasion un bébé sage sur ses genoux pendant que sa maman cherche des livres.
Dedans il y a sur le mur
Le village noir et blanc comme une page
Dehors
Aller recto et retour verso
Il y a une maison à la vanille
Un mur qui chante (tu sauras bientôt)
Et la grand rue qui ressemble en plus sombre au tricot de l'année.
Comme elle nous a rendu visite hier, je peux te dire qu'Amélie va bien, regarde :
Et le tricot journal ? Il grandit, pardi :
Rubrique : Que faire avec un chat con ?
Décorer la toiture.
petit supplément : j'ai reçu de Juliette Citrouille une bande son du feu de dieu pour illustrer l'à fire (beautiful lapsus, je le garde mais cependant le corrige : c'est de l'à faire qu'il s'agit) du mois d'octobre, si ça peut vous inspirer, c'est là. Comme la bande me botte et le blog aussi, hop, en lien.