Le Grand Chantier, épisode 6, dit le bouclage, la conclusion, la fin ou tout autre mot qui te conviendra.
Etant posé que le participant de base est assurément fort occupé en ce terrible mois de juin, étant donné que la Mère Castor elle même est plutôt molle du genou en ces temps de bouleversement en forme de bébé trop mignon que c'est pas dieu possible d'être si chou, étant entendu qu'on s'est bien amusés et qu'un dernier tour de manivelle s'imposait, voici venu le temps de boucler l'aventuresque chantier en y posant un point final et définitif.
Pour t'aider (si si) et te soutenir dans ton effort de création :
vaillant ami, que le rorqual t'épargne, que les rosereaux te protègent du froid (y'a plus de saison) que rosalies et rossignols chatouillent tes oreilles et que ces derniers mots t'inspirent autant que les précédents, mangeuse de psylocibes, rouleuse de galette ou de leporello, créatrice épistolaire, brodeuse allumée, animatrice inspirée, couturière à fleurs, amie des petite bêtes, organisatrice de voyage d'amour et les autres, les autres
sur le pont neuf, une dame dessine
non, c'est un ragondin
genou d'arbre, pied de bébé
Pour moi, j'ai pu constater cette semaine que chanter des berceuses, faire des trucs d'une seule main, pousser un landau en écoutant chanter les grenouilles, tartiner de la crème à fesses rouges et étendre des petits pyjamas, c'est comme le vélo
Ca ne s'oublie pas.
Cadeau de JEA, une belle Rosalie :