17 septembre 2011
pouf pouf
Une fois toutes ces choses accrochées et posées, la galerie a pris un air familier. En même temps comme chez moi et pas du tout. Et c’est tant mieux, puisque demain j’irai me vautrer dans le canapé pour tricoter et raconter ma vie aux visiteurs qui voudront bien s’arrêter entre deux visites patrimonio-culturelles et, la bouche pleine de bricoles maison, jeter un œil sur les vidourleries non moins maison qui occuperont Poussière d’étoiles jusqu’au 23 octobre. (ah, je te l'ai déjà dit ? Je ne m'en souviens pas)
tout bas, sur le ton de la confidence : Mère Castor : lecteur chéri, je vais essayer rien que pour toi de compter le nombre de fois où le mot écharpe sera prononcé. Ca te donnera une idée grosso modo du nombre de visiteurs. Pouf pouf.
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