Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
La Mère Castor
Albums Photos
Derniers commentaires
Newsletter
13 juillet 2011

plongée

DSC_0030

DSC_0005

DSC_0017

DSC_0032

DSC_0031

DSC_0034

DSC_0013

DSC_0070

DSC_0018

DSC_0024

DSC_0003

DSC_0054

DSC_0020

DSC_0050

DSC_0065

DSC_0048

DSC_0013

DSC_0001

DSC_0012

DSC_0002

DSC_0042

DSC_0014

DSC_0020

DSC_0025

DSC_0034

DSC_0047

A Avignon, les spectateurs se divisent en deux catégories : ceux qui tapent des mains et ceux qui tapent des pieds. D'un côté les enthousiastes, de l'autre les ronchons. Il faut de tout pour faire ce festival unique et débordant, nains lubriques, enfants alanguis, vertes prairies saccagées, petites tigresses de papier, évêque optimiste, comédiens sublimes, spectacles délicats, lourdingues, intéressants, oubliables et déjà oubliés et puis la chaleur, la saleté et les gens les gens les gens, tous pareils tous différents mais chacun vrai dans sa vérité vraie, s'agglutinant autour de spectacles de rue braillards et indigents quand passent Fiona Gordon et Dominique Abel, grands, souriants et magnifiques tirant leurs valises dans l'indifférence générale, rue de la République.

(vus : Au moins j'aurai laissé un beau cadavre - Enfant - Oncle Gourdin - Jan Karski dans le In, quatre spectacles aux Doms, l'Histoire du Tigre habillé par Rose Chiffon,  Fait Divers de Nicolas Bonneau, drôlement bien ce Bonneau , dans le Off)

Publicité
Commentaires
A
L'idéal, c'est de revenir faire des photos dans certaines de ces rues en août ; quand l'avignonnais moyen, forcément goguenard, peu cultivé, voire béotien, et finalement assez "anti" festival, retrouve sa ville sale, et "isolée" du monde ... quand le simple mortel prend sa voiture pour aller chercher du pain, car tous les commerces sont fermés, et que tout au long de certaines rues, il n'y a plus de vitrines à reluquer ... c'est revenir faire des photos en octobre dans les "quartiers" quand il n'y a plus de sous pour les enfants, plus de sous pour les associations, plus de sous pour ramasser les rats crevés (véridique), plus de sous pour les tags et les crottes de chiens ... quand la ville redevient elle-même, morne, morte, terne, silencieuse et éteinte, parce qu'elle ne brille de tous ses feux que trois semaines par an ... "show must go on" ...
Répondre
J
Ce festival est grand en animation et haut en couleur. J'aime beaucoup la 6ième photo. On dirait une porte donnant sur l''irréel. Bizzzzzzzzzzzzzzzz
Répondre
M
C'est un pote à moi.
Répondre
M
j'aime ce déballage,ces rues vivantes de ces riens artistiques et/ou burlesques.
Répondre
G
J'ai au moins reconnu quelqu'un : Jano, notre gorille. Je ne savais pas où il était passé le bougre, il était donc parti au festival !
Répondre
La Mère Castor
Publicité
Archives
La Mère Castor
Publicité