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La Mère Castor
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9 novembre 2014

Savoir vivre

Alors qu'hier soir, avec un cousin de passage, nous mettions le couvert dans la cuisine, la discussion est venue sur les us, coutumes voires maniaqueries sur la place qui convient aux dits-couverts.
Et c'est ainsi que, sautant d'une méthode mnémotechnique à une autre, nous en sommes arrivés à la conclusion que, pour disposer convenablement fourchette et couteau, il fallait penser à Jacques Chirac.
Ou à un plateau de théâtre.
Ou à Jésus Christ, mais pas à cause de la cène, jumelle phonique de la scène de théâtre. 
C'est tout le plaisir de la conversation entre gens de spectacle... (tu n'as rien compris ? explication en fin de billet *)

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on n'a pas fait que manger, on s'est promenés aussi

Ce matin, vide grenier de Saint Hippolyte : 

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2€ les 3, qui dit mieux

 
A peine ouvert le livre de Citati, me suis faite happer : 

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la suite est à l'avenant, chouette trouvaille.

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cadeau venu du froid (avec un beau ciel bleu...) envoyé d'Islande par Alice
simple et efficace, pour Dimanche et Croix.

*C'est simple : j'ai appris (et j'applique) que la fourchette se place à gauche de l'assiette et le couteau à droite. Imagine maintenant que tu regardes un plateau de théâtre : Jardin se trouve à gauche et cour à droite.
Pour s'en souvenir, on m'a dit : pense à Jésus-Christ ou à Jacques Chirac -comme ça je pense à eux de temps en temps parce que sinon hein- (J pour jardin, C pour cour, dans le sens de la lecture,  bon ça tu avais compris).
Donc et par conséquent : si tu regardes ton assiette comme la scène d'un spectacle gastronomique à venir, jardin est la fourchette et cour est le couteau. Cou-r, cou-teau, cou-r, cou-teau.
Ahhh ! les subtilités historiques de la mnémotechnique.

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production locale, la fourchette géante

Et ton couteau, lecteur ? Tu t'en fous ou tu pinailles comme moi ?
(Le jour du repas fatal, où Jésus avait-il placé ce couteau qu'ensuite on lui planta dans le dos ?)

A part ça et sans transition, lecteur, si tu as des recettes de courges, potiron, potimarron et autre citrouille sous le coude, nous pourrions en faire un billet de saison. 

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Commentaires
A
Je vais regarder mes couverts d'un autre œil. Amitiés.
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A
Peu importe le type de courge ou potiron (marron ou pas), je leur réserve le même sort pour ma soupe : exit le coeur et les pépins, découpage grossier en laissant la peau, on accompagne de carottes, pomme de terre et tout autre légume qui se trouve par là, hop, sur le papier sulfurisé et sur la plaque, un filet d'huile d'olive, râpage de noix de muscade, saupoudrage de paprika et des épices du moment, zoup, au four, puis dans l'eau bouillante, et on mixe. Avec la peau. Et toc.
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V
#2 <br /> <br /> https://www.flickr.com/photos/30095343@N03/11491507565/in/set-72157622052808744
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V
#1<br /> <br /> <br /> <br /> https://www.flickr.com/photos/30095343@N03/15565406807/
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M
Merci pour cette première recette
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