1 novembre 2014
samedi
Est-ce la vision, hier soir, d'un Petit Poucet assez réussi, cruel, loufoque et mélancolique qui m'a secouée ?
Aujourd'hui c'est l'abondance à notre retour du marché qui -après avoir tiré vers le bas nos bras fatigués- m'a tiré l'oeil.
Calculer combien de poucets faméliques nous pourrions nourrir avec ça
et combien de jours il nous faudrait avant d'aller
les perdre dans la forêt.
bonus, un vide grenier : Swift, Kipling, Houellebecq, des contes africains et suédois et un roman de Richard Powers (je ne connais pas) acheté pour le titre et la couverture : Trois fermiers s'en vont au bal.
images Arte
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