voyager léger
Avec mon petit sac à perle
Et sa marquise exquise
Je partirai sur le grand Nil
Visiter les oiseaux compter les dynasties
Celle des hippopotames
Celle des crocodiles
Celle des poissons tous enfants du soleil
Je saluerai pour toi la sirène qui sommeille
Sur la rive fertile
À l’ombre verte des palmes bayadères
Qui en leur temps bercèrent
Arsinoé, Isis, Cléopâtre
La grande Hatchepsout
Et la belle Néfertiti.
en vrai le sac c'est pour aller bader léger (et de bon goût, toujours) dans les rues d'Avignon
Courage, Mère Castor et que la crue soit avec toi, pour éviter la surpopulation il te faut faire encore un ou deux mètres de tricot (non non et non, je ne tricoterai pas 6500 kilomètres de laine bleue et verte) des berges en tricotin, un brin de couture et un delta pharaonique.
Un peu de lecture sur le Nil ?
Bravo à Ötli, qui avec son Sphinx, n'est pas tombé loin de la bonne solution, à celles qui ont vu un fleuve dans l'étalage des laines bleues et à Sabine qui a résolu le jeu de mot Neil/Nil et fait le rapprochement avec le projet de contes sur l'Egypte. Pour cela elle recevra un petit cadeau maison, parti ce matin de la poste de Sauve.