
Portée parLe tapis volant et denseDes chants d’oiseaux mêlésLe long des berges décoifféesJe donne des petits coupsDe tampons dans les maresJe dis et disperse à tort et au hasardDes mots J'apprends à lire à la coccinelleA l'herbe nouvelleEt les bords me répondentÀ grands coups de trompeD’équations inconnuesDe X de YDe i sans points de points sans iDe tresses de détresseEt de promesses :Un voyage en ballonDe l’herbe toujours verteEt du grain à foison.
C'est pas le tout Mère Castor qui va cheveux...
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