Quel mystère, quelle curieuse histoire que celle là, quelle richesse pour commencer ce grand chantier. Me voilà épatée, charmée, enchantée, c’est là, c’est tout de suite et maintenant, il n’y a plus qu’à se laisser emporter, (clique et va lire, je ne donne ici qu'un aperçu du grand bazar) :
Christie de Recréevision
Petit journal du bord du monde
Chez Sabine de Manosque, va voir : "Racines et Voyages"/ épisode 1 : au coeur d'une caillette !
la participation de JEA, son blog : Mo(t)saïques 2
Le texte de Nicole, qui n'a pas de blog :
Episode 1
Il faisait chaud, trop chaud…
Au loin, la silhouette des montagnes calcédonieuses était brouillée par la réverbération.
L’air vibrait dans une lumière blanche éblouissante.
Dans le petit jardin ensoleillé, à l’abri du vent, les rares plantes qui poussaient, enracinées dans une terre rouge, craquelée par la soif, avaient un aspect gris et poussiéreux. La nature paraissait accablée. Un cagne efflanqué s’abritait à l’ombre parcimonieuse du mur de pierres qui bornait le jardin.
Une allée conduisait à une maison crépie, basse et trapue, protégée du soleil par ses volets à peine entr’ouverts.
De la terrasse de la maison abritée par une treille, le cailletage de quelques femmes se reposant à l’heure de la sieste, parvenait à une jeune femme aux gestes alanguis par la torpeur de cet après-midi de juillet.
Assise sur la première marche, elle dédoublait des caïeux d’iris.
Chanelke : calenture
Entre fil et...
Déménagements immédiats, premier épisode : la Miche.
les 400 coups, part one
poupée sauvage : calendule
Va voir : Chauffage chez Madame Alfred
Va lire chez Marie Alster
Merci à tout le monde, tout retard sera considéré avec une affectueuse indulgence et volontiers pardonné, toute remarque sera lue, entendue et prise en compte.
Le grand chantier, épisode 1, dit : la Racine.
Caillasse.
A l’abri du cagnard et des interminables cailletages qui montent du village, enroulé sur lui-même, le petit palais calcéoliforme semble dormir, oublié sous des prêles géantes. Si de loin on dirait quelque cafotin ébréché, de près on peut savourer son sourire cagot béant béatement vers les aventures à venir.
(t'as vu ? j'ai retrouvé mon appareil photo chéri)
Et si parmi les gens de Sauve il se trouvait quelque joueur, (déjà il faudrait des lecteurs, hum hum) qu'il essaie donc de trouver ce petit grand chantier en commencement, et qu'il s'y signale par quelque installation de son cru, à condition, bien sûr, de ne pas déplacer le petit palais qui pour être chaussure, n'en est pas moins planté là. Pour l'instant.
Demain, le deuxième épisode.
A suivre ICI, le chantier musical de Juliette Citrouille, claquettes et jolie nostalgie.
et comment s'appelle l'appareil chéri?*bonne journée