18 juillet 2010
beauté papale
peu importent la foule, le bruit et la saleté de la fin du jour
immense, immobile sous les bourrasques du mistral, le palais veille sur son éléphanteau
imprimé de l'ombre longue des arbres et doré au soleil finissant, c'est comme ça que je le préfère.
(pour Catherine)
Hier soir, vu dans la Cour d'Honneur Paperlapapp (pas sûre de l'orthographe) ce sera le sujet d'un autre billet.
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