29 juin 2008
chroniques des balades ordinaires
Il y a un matin pour aller poser, tendreUne pensée vers la Cendrillon aux sabots videsDont le château peu à peu disparaît Coiffé d’oubli et couronné de fleursBignones qui vont voir si les chosesDedans vivent encore quand l’âme n’y est plus Il y a la promenade...