14 mars 2008
Flocons
Comme il était suave
Ce doux matin sur le village
Et sage
Là haut des flocons de douceur
Rien ne pouvait arriver
L’espoir vibrait dans les cuisines
La vie coulait, aimable, entre chaudière et cafetière
Regarde t-on assez le ciel et ses signes ?
Qui a vu là les moutons dociles
Et silencieux qui vont voter en rangs serrés
Paisibles et les yeux fermés ?
Certains matins
On se réveille la bouche amère
Et les jambes en coton
Ce post est dédié aux déçus de dimanche soir, qui ne le liront pas.
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